L’Assemblée Locale de Gerde a récemment remporté une victoire importante devant le tribunal administratif, soulignant le droit inaliénable à la liberté de réunion. Ce recours, déposé le 4 décembre 2025, faisait suite à la décision de la Maire de Gerde de refuser l’accès à un local communal pour la tenue de leur second atelier politique.
Dans une ordonnance qui a suscité l'enthousiasme parmi les membres de l'Assemblée, le tribunal a suspendu la décision de la maire, affirmant qu'elle avait gravement compromis la liberté de réunion. Ce jugement a également précisé que l'événement n'était pas de nature à provoquer des troubles à l'ordre public, permettant ainsi aux citoyens de s'exprimer librement.
Ce cas rappelle à toutes les municipalités la nécessité de respecter les droits fondamentaux de réunion, d’expression et d’opinion. Comme l'a souligné un expert en droit public, « la gestion des espaces publics ne doit pas interférer avec les libertés civiques. L'opinion d'un maire ne peut être fondée sur de vagues impressions ».
Le deuxième atelier politique a eu lieu le 11 décembre, à la salle Jacques Fourcade, rassemblant les citoyens désireux de débattre des enjeux locaux. Cette mobilisation démontre qu’en dépit des obstacles, les communautés peuvent se rassembler pour discuter et défendre leurs idées.
Cette affaire illustre l'importance d'une vigilance citoyenne face aux décisions parfois illégales des autorités. Comme l'explique la présidente de l'Assemblée Locale, « la justice a prononcé un message fort sur la nécessité de protéger nos libertés démocratiques ».
En somme, cette situation met en lumière les défis auxquels les citoyens font face pour exercer leur droit de réunion dans des cadres publics. Les opinions récentes stipulent également que renforcer les dialogues locaux peut contribuer à forger des liens et des consensus dans la société.







