Las Vegas (États-Unis) – Après les exploits de Victor Wembanyama et Stephon Castle, les San Antonio Spurs peuvent à nouveau compter sur une jeune sensation : Dylan Harper. Ce basketteur de 19 ans, héritier d'une lignée familiale prestigieuse, est devenu l’un des joueurs les plus scrutés lors de la finale de la Coupe NBA à Las Vegas, prévue ce mardi contre les New York Knicks.
Harper, qui affiche des stats intéressantes de 13,1 points et 3,7 passes en 22 minutes de jeu par match, fait preuve d'une rapidité impressionnante sur le terrain. Avec ses 1,96 m et 98 kg, il utilise sa vitesse et son agilité pour infiltrer les défenses adverses. Bien qu'il excelle dans l'art de la passe, son tir à trois points (actuellement à 28 %) nécessite encore quelques ajustements pour qu'il brille véritablement au niveau élite de la NBA.
"Il a une excellente compréhension du jeu et sait prendre de bonnes décisions", souligne son entraîneur Mitch Johnson. "Il est particulièrement habile autour du panier et, au fil du temps, il affinera encore ses compétences de tir." Les Spurs, qui ont une longue tradition de développer de grands talents comme Tim Duncan ou Tony Parker, semblent être le bon environnement pour qu'Harper s'épanouisse.
À noter que Dylan est le fils de Ron Harper, ancien champion NBA avec les Bulls et les Lakers, et de Maria Pizarro Harper, une ancienne athlète universitaire et entraîneuse. C'est sa mère qui a guidé les premiers pas de Dylan sur les parquets, lui inculquant la passion du jeu dès son jeune âge.
Comparé à des joueurs tels que James Harden pour son style de jeu, Ron Harper affirme qu'il considère son fils comme un joueur plus équilibré et complet. "Le duo qu'il forme avec Stephon Castle, surnommé les 'slash brothers', pourrait bien créer des difficultés pour les défenses adverses", précise V. Wembanyama, confiant en l'avenir de l’équipe.
Dylan Harper est bien plus qu'un simple rookie; il incarne l’avenir prometteur des Spurs, un club prêt à retourner sur le devant de la scène. Avec des mentors de talent autour de lui, son ascension dans le monde du basketball ne fait que commencer.







