Le groseillier à maquereau, bien que moins courant dans nos assiettes aujourd'hui, possède de nombreux avantages. Plus sucré que les autres variétés de groseilles, cet arbuste est facile à cultiver et supporte des températures froides, ce qui en fait un favori dans les régions nordiques.
Origine du nom
Le terme 'groseillier à maquereau' s'explique par son utilisation dans la cuisine anglaise, où il accompagne des plats tels que les sauces aigres-douces pour le poisson. En France, il est parfois affublé de surnoms variés comme 'gratte-poux' ou 'pétasse'.
Conseils de plantation et d'entretien
Pour une plantation réussie, choisissez un sol riche et frais, et optez pour une exposition en plein soleil ou en mi-ombre. Privilégiez une plantation au début de l'automne ou au printemps. Au printemps, il est conseillé d'apporter un engrais riche en azote et en potasse pour favoriser la croissance.
En termes d'entretien, le groseillier à maquereau nécessite un arrosage régulier, surtout en période estivale, et une taille sévère chaque mars pour aérer les plants et maximiser la fructification. Faites attention aux maladies telles que l'oïdium ; un traitement préventif au soufre peut s'avérer utile.
Quand et comment récolter ?
La récolte débute dès fin mai pour éclaircir les branches, avec des fruits mûrs qui se détachent facilement de leur tige. Selon la variété, les meilleures périodes de récolte s'étendent de juin à août. En diversifiant les sortes de groseilliers, vous pouvez prolonger la période de consommation de ces délices sucrés.







